À un mois du vote des militants LR, chacun veut croire en ses chances.
Un mois! Dans un mois, la droite connaîtra son candidat – ou sa candidate – à l’élection présidentielle, après un vote des militants le 4 décembre. «Enfin!», diront beaucoup alors que la présidentielle approche et que les concurrences se multiplient. À commencer par celle d’Éric Zemmour, en mesure, selon certains sondages, de se qualifier au second tour, avant même de s’être déclaré candidat. «Calendrier habituel», répliquera la direction de LR en rappelant les dates de désignation de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Fillon.
Si l’attente des électeurs de droite est énorme pour cette présidentielle après deux défaites cuisantes, difficile de savoir quelle sera la clé de leur choix. Privilégieront-ils le vote utile en choisissant – avec toutes les erreurs possibles à six mois du scrutin – le candidat le mieux placé dans les sondages ou accorderont-ils la prime à la fidélité et la loyauté?
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